Le fantasme d'être cocu

Catégories : Cuckold candaulistes cocu Libertins
il y a 3 ans

Tout a commencé un soir d’octobre. Il venait de s'écouler une période d'un an pendant laquelle ma femme était restée à la maison pour s’occuper de notre fils. Mon épouse devait reprendre le travail dans une nouvelle structure éloignée de l’endroit où elle avait précédemment exercé son métier.

Un soir, donc, quelques jours après avoir repris le boulot, elle rentre à la maison et me dit qu’elle pense avoir tapé dans l’œil d’un commerçant du quartier où elle travaille. Elle m’explique que ce jeune homme la salue avec un sourire espiègle à chacun de ses passages devant sa boutique, allant même jusqu’à sortir sur le pas de la porte lorsqu’il la voit passer.

Nous sommes un couple plutôt libre. Échangistes tous les deux, nous avons eu plusieurs fois l’occasion de mêler à nos ébats des compagnons de passage, des hommes aussi bien que des femmes. Mais j’ai un fantasme que je n’ai pas encore réalisé avec ma compagne : qu’elle me trompe, qu’elle me fasse cocu !

Je lui en ai déjà souvent parlé, lors de nos rapports, mais elle l’a toujours pris plus ou moins à la légère, me disant qu’elle ne pensait pas qu’elle se sentirait très à l’aise avec un autre homme hors de ma présence.

À l’occasion de nos trios, j’ai souvent pris un peu de recul pour l’admirer prendre son plaisir dans les bras de notre invité, mais elle a toujours paru se retenir. Quoi qu’il en soit, j’ai toujours adoré la regarder faire l’amour avec un autre homme.

Bien entendu, je suis sûr qu’en me parlant de ce jeune homme, elle sait ce qu’elle fait, et que cela alimentera mes fantasmes. Je lui dis donc que si elle en a envie, et que ce garçon lui plait, elle a ma bénédiction pour aller jusqu’où elle le souhaite avec lui, à la seule condition de me raconter tout ce qu’ils pourront faire ensemble, au minimum, voire de me ramener des « témoignages » plus directs de leurs éventuels ébats.

Puis nous n’en avons plus reparlé pendant quelque temps.

Un soir de novembre, alors qu’elle rentre à la maison après avoir fini tard, elle me dit qu’elle est passée à la boutique, histoire de voir si son ressenti vis-à-vis du jeune homme était conforme à ce qu'elle croyait. Après avoir discuté un peu des produits qu’il vend, et lui avoir présenté l’ensemble de sa gamme, il lui a proposé d’aller boire un verre ensemble. Elle me dit lui avoir répondu « Pourquoi pas, mais pas aujourd’hui », avec un petit sourire, puis ils ont échangé leurs numéros de téléphone, et se sont séparés.

Elle me demande si je suis toujours d’accord pour la laisser faire ce qu’elle veux, étant donné qu’en effet, elle trouve le jeune homme mignon et tout à fait charmant... Alors que je suis sur le point de lui répondre que je n’ai pas changé d’avis, et que je suis déjà excité à l’idée qu’elle s’abandonne dans les bras d’un autre homme, son téléphone sonne pour lui signaler l’arrivée d’un SMS.

Évidemment, c’est lui ! Il veut juste s’assurer, écrit-il, que le numéro est le bon, et qu’elle est toujours d’accord pour aller boire ce verre. Elle me fait lire le message, qui se termine par un émoticône «baiser», et me regarde pour s’assurer de mon feu vert. Je hoche la tête pour le lui signifier. Elle lui répond donc que c’est d'accord pour elle, et que ce serait même avec grand plaisir, et termine elle aussi son SMS par le même émoticône.

Puis elle me dit qu’elle ne l’a pas informé qu’elle est mariée, de crainte que cela ne le fasse changer d’avis. Je lui dis qu’il serait peut-être préférable qu’elle l'en informe, sans f o r c é m e n t lui communiquer les détails de notre arrangement, afin qu’il ne se fasse pas de fausses idées sur ses intentions.

Elle reprend donc son téléphone, et lui envoie le message suivant : « Par contre, je préférerais qu’on aille boire ce verre un midi, ou un jour où je ne finis pas le boulot tard. Je suis en couple, et je n’ai pas envie de chercher une excuse pour rentrer trop tard. : -* »

Après quelques minutes, son téléphone à nouveau : « Pas de souci pour moi, je comprends. Disons, si tu es dispo demain midi, pour commencer… : -* »

Puis après quelques secondes, nouveau SMS : « … partout ! ; -)

Voilà qui est clair, le futur amant a tout compris des intentions de ma femme, ce qui n’est pas pour lui déplaire, quant à moi…

Sa réponse ne tarde pas : « Demain midi, OK ! Tu connais un endroit tranquille dans le quartier ? »

« Passe à la boutique vers midi, je t’emmène dans un bar que je connais. T’auras un peu de temps ? »

« Pas plus d’une heure si c’est tout près. Ça laisse quand même un peu de temps ; -) »

« On fait comme ça, bonne nuit, et à demain ! : -* »

— Voilà, me dit-elle… Tu ne vas pas tarder à voir ton fantasme se réaliser, j’espère que ça te plaira ! En tout cas, moi, je suis toute chose rien que d’y penser. Tu es vraiment sûr de toi ?

Pour seule réponse, je m’approche d’elle, pose une main sur ses fesses pour coller son corps contre le mien, et lui faire sentir comme la situation me plait d’ores et déjà, et l’embrasse avec amour. Puis nous dînons, et allons au lit de bonne heure… La télé ne nous intéresse pas particulièrement ce soir-là, allez savoir pourquoi...

Le lendemain matin, ma chérie se lève tôt. Lorsque je me suis levé, un peu plus tard qu’elle, elle est dans la salle de bains, en train de finir de se pomponner. Elle est maquillée et coiffée comme elle ne le fait presque jamais pour aller au travail (ça va faire jaser…), souriante et d’une excellente humeur, pour une heure si matinale. Je cherche à voir quelle lingerie elle a choisie, mais elle se dérobe, et me dit :

— Tu verras ce soir, je garde la primeur pour Paul, car il se prénomme Paul !

Sur ce, alors que je descends pour prendre mon déjeuner, elle se met en route, non sans que nous ayons échangé un long baiser d’amoureux. Je suis déjà fort excité, et me demande comment je vais tenir jusqu’à ce qu’elle rentre.

Puis la matinée se traîne. Je n'arrête pas de penser à ma chérie qui doit être assez peu concentrée sur son job, mais plutôt sur son rendez-vous de midi. Vers 11 h 45, je lui envoie un SMS : « Passe une bonne pause déjeuner, je t’aime ! »

À midi, mon téléphone me signale un SMS : « J’y vais, je te tiens au courant ! Je t’aime ! »

D’un seul coup, mes sous-vêtements me paraissent extrêmement étroits !

Les minutes passent, bien sûr j’attends avec impatience des nouvelles, mais je sais que si tout se passe bien pour elle, ma douce ne m’en enverra pas avant une heure. Puis vers treize heures, en effet, un SMS de ma compagne :

« Je retourne bosser, excellente pause déj, mais trop courte. Je rentrerai un peu tard ce soir. »

Là, je ne tiens plus, mon sexe est douloureux à f o r c e d’être tendu.

Quelques minutes plus tard, nouveau message. C’est un MMS, cette fois-ci. Le temps qu’il s’ouvre, et je vois une main que je reconnais aisément être celle de Stéphanie, les doigts serrés autour d’un sexe que je ne connais pas, avec ce commentaire :

« Prise vite faite sous la table, au bar. »

Tout de suite après, un autre message, cette fois, la photo montre une main d’homme glissée dans le jean de ma chérie, toujours sous une table.

Je réponds rapidement à ces trois messages qu’il n’y a pas de souci, qu’elle rentre quand elle veut, et que je vois qu’elle semble en effet avoir passé une pause déj’ bien agréable.

L’après-midi passe puis, vers 17 heures, je reçois un nouveau message de Stéphanie : « Je te tiens au courant quand je rentre, ne m’attends pas de bonne heure. »

J’attends ainsi une bonne partie de la soirée. Je fais manger notre fils, et le mets au lit, puis je m'installe devant la télé en attendant le retour de ma charmante cocufieuse.

C’est après 23 heures que je reçois un message me disant qu’elle prend le train, et qu’elle sera là vers minuit. Ce message est immédiatement suivi d’un nouveau MMS, avec cette fois-ci une photo de ma compagne, la bouche déformée par le sexe de Paul, qu’elle semble sucer avec beaucoup d’application. La photo est visiblement prise par le propriétaire du membre viril. Je me demande si elle lui a parlé de notre arrangement…

Vers minuit, comme promis, j’entends la porte d’entrée de la maison qui s’ouvre, et quelques minutes après, ma douce et tendre vient me rejoindre dans le canapé. Sa coiffure est un peu moins bien arrangée que ce matin quand elle était partie, et de son maquillage ne subsistent que quelques traces. Elle est radieuse !

Elle s’assied à côté de moi, et me demande si je veux toujours qu’elle me raconte sa journée.

Curieusement j’hésite quelques instants entre rester sur mon fantasme, sachant qu’elle l’a réalisé et que j'en ai enregistré quelques « preuves » dans mon téléphone, ou bien lui demander de me raconter par le menu toutes les cochonneries qu’elle a faites avec Paul. C’est finalement la deuxième option que je choisis, pour le plus grand bonheur, semble-t-il, de ma chérie.

Elle a visiblement pensé à un petit scénario pour me conter ses exploits. Elle me demande de me déshabiller, et de m’installer confortablement sur le canapé. Je m’exécute, ce qui lui permet de découvrir l’érection qui ne m’a pas quitté de la journée, pour ainsi dire.

Puis elle se lève, va jusqu’à son sac, dont elle sort son téléphone, et un autre objet, qu’elle sert dans sa main.

— D’abord, voilà un témoignage de mon escapade me dit-elle, en me tendant l’objet.

C’est son string, celui qu’elle ne m’a pas laissé voir ce matin. Il est collant, et sent le sperme à des kilomètres.

— Je me suis dit que tu aimerais l’avoir sous le nez pendant que je te raconterai. J’ai demandé à Paul de ne pas jouir dans le préservatif, mais dans mon string, pour que tu vois comme je suis salope. Oui, je lui ai dit que j’étais là avec ton accord, il a trouvé ça très amusant.

J’ai donc la réponse à la question que je me posais. Voici, à quelques mots près, le récit qu’elle me fait alors que je respire l’odeur de son amant sur sa peau, et sur ses sous-vêtements :

— Ce midi, comme prévu, je l’ai retrouvé à la boutique. Nous sommes allés dans un bar qu’il connaissait, à quelques rues de là. On s’est installés à une table au fond, côte à côte sur la banquette, à l’abri des regards des quelques autres clients. Avant même d’avoir commandé, il m’a embrassée. Tu sais que j’adore les baisers, je lui ai rendu le sien avec toute la passion dont je suis capable. Puis on a commandé, et discuté un peu avant que les verres n’arrivent. Dès que nous avons eu nos commandes, il s’est serré contre moi, et a glissé une main sous mon haut, pour caresser mes seins.

— Tu t'es laissée peloter les nichons devant tout le monde ? dis-je très excité.

— Oui ! J'ai trouvé ça plus excitant que de nous faire discrets... Nous échangions des baisers très, très chauds, tout en sirotant nos verres. Au bout d’un moment, j’ai glissé ma main sous la table directement sur sa braguette. J’ai senti une belle queue bien dure qui n’attendait que moi. Je l’ai caressée un peu par-dessus le jean, puis j’ai ouvert la braguette, et pris en main sa bite bien dure pour le masturber.

Comme tu as pu voir sur les photos, c’est le genre de queue que j’aime, épaisse, pas trop longue, avec un beau gland bien rond. Je m’en suis donné à cœur joie pour lui faire du bien, tu peux me croire. Il dégoulinait littéralement, j’en avais plein la main. Et le serveur n'a rien perdu de la scène crois-moi, il m'a fait plusieurs clins d'œil...

— Tu déconnes ma chérie ! Tu vas vraiment passer pour la reine des salopes !

— Attends, tu vas voir la suite ! Paul ne semblait pas avoir envie de s’en tenir là. Il avait compris que j’étais décidée à faire ma salope, alors il a commencé lui aussi à me caresser par-dessus mon jean, puis il a ouvert ma braguette et a glissé directement vers ma chatte. J’étais trempée, encore plus que lui. Il m’a caressé le clitoris quelques minutes, j’ai joui presque tout de suite. Heureusement, il avait sa langue dans ma bouche, sinon, j’aurais attiré l'attention de tous les clients du bar. Après que j’aie joui, il a enfoncé deux doigts entre mes cuisses. Il n’a eu aucun mal à les rentrer en entier, après que j’aie soulevé mes fesses pour faire glisser un peu mon jean. Il m’a branlée comme ça jusqu’à ce que je jouisse encore.

Malheureusement, il était presque l’heure que je retourne au boulot, alors il m’a dit : «Tu ne vas pas me laisser comme ça, quand même ? » J’ai donc repris ma masturbation, pendant qu’il me racontait des cochonneries à l’oreille. Il a joui très vite dans ma main. J’ai attrapé une serviette en papier sur la table, j’ai essuyé le sperme qui collait mes doigts, et lui en ai passé une aussi, pour qu’il puisse se rhabiller.

— Et après ? Terminé ?

— J’ai remonté mon jean, refermé ma braguette, et nous sommes sortis du bar. Il m’a dit que c’était dommage que nous devions nous arrêter là, qu'il avait encore faim... C’est là que je t’ai envoyé le premier SMS, en lui disant qu’il n’y avait pas de problème, qu’on avait qu’à se retrouver à 17 heures quand je sortirai. Il m’a laissée à quelques rues du boulot, avec un gros baiser baveux, et en me pelotant les fesses. Je t’ai envoyé les deux MMS juste avant de reprendre, avec seulement cinq minutes de retard, et avec le string trempé, j’avais l’impression de faire floc floc en marchant…

Pendant tout ce récit, elle me caressait doucement la queue, mais sans jamais y aller franchement. Puis elle me dit :

— Si tu veux que je te raconte ma soirée aussi, il va falloir y mettre du tien.

— Tout ce que tu voudras, ma chérie, du moment que tu me racontes.

Alors, elle me fait lever du canapé, puis retire son jean, et s’installe, jambes ouvertes. Je comprends immédiatement le message et m’installe moi aussi, la tête entre ses cuisses pour lécher ce sexe qui a été rempli quelques heures auparavant par la queue et le foutre d’un autre.

Elle reprend son récit, non sans quelques interruptions pour exprimer le plaisir que je lui donne.

— Je l’ai donc retrouvé comme prévu après le boulot, devant sa boutique. Il m’a à nouveau embrassée à pleine bouche en me pelotant les fesses, et m’a invitée à le suivre chez lui, juste à côté. À peine la porte refermée, on s’est jetés l’un sur l’autre, pour se déshabiller, et se caresser tout le corps, ce que nous n’avions pas pu faire ce midi.

— Mais votre désir a augmenté tout l'après-midi, ce n'en a été que meilleur, non ?

— Tu as raison mon chéri. Paul m’a entraînée dans sa chambre et m’a fait allonger sur son lit, pour me lécher, exactement comme tu le fais maintenant. Il sait très bien s’y prendre, et inutile de te dire qu’après la séance de ce midi, j’étais particulièrement réceptive. Il m’a fait décoller en quelques minutes, et ne s’est arrêté qu’après mon troisième orgasme.

— Gourmande va !

— Il me fourrait ses doigts tout en me suçant le clito, je sentais le mélange de mouille et de salive qui coulait sur ma chatte, et le long de la raie de mes fesses, et j’imaginais en même temps que j’allais te raconter ça… C’était… mmmmh !

— Ah ! Tu vois ! L'idée de me tromper a décuplé ton plaisir !

— Oui, c'est certain mon amour. Après mon troisième orgasme, donc, Paul s’est arrêté, et s’est relevé pour me présenter sa belle queue. Elle me paraissait plus grosse et plus dure que ce midi, au bar, et il avait une goutte qui coulait du gland. Je ne me suis pas fait prier pour la recueillir avec ma langue avant de commencer à le sucer. C’est là que je lui ai demandé de faire une photo avec mon téléphone. Comme il m’a demandé pourquoi je faisais des photos comme ça, je lui ai expliqué que tu étais à la maison, et que tu attendais avec impatience le récit de mes aventures. Il s’en est donné à cœur joie, tu pourras regarder les photos quand j’aurai fini de te raconter.

— J'ai vraiment hâte de les contempler...

— J’ai donc repris ma pipe, le suçant avec application, et l’écoutant gémir, comme je fais quand je te suce. Il avait posé sa main derrière ma tête et accompagnait chacun de mes mouvements d’une légère poussée. Au bout d’un bon moment, c’est qu’il est endurant, en plus, je l’ai senti se contracter, j’ai voulu retirer sa queue de ma bouche, mais il me tenait la tête, et il a joui comme ça, debout, dans ma gorge. Et puis il m’a dit : «Alors comme ça, tu es une salope, ouvre la bouche pour montrer à ton mec comment tu suces bien…»

— Je ne sais pas pourquoi, mais ça m’a excitée, alors j’ai ouvert la bouche, et il a fait une photo de son sperme sur ma langue. Et puis, j’ai avalé, et j’ai à nouveau ouvert la bouche, et il a pris une autre photo.

— Tu ne t'es pas laver les dents ma cochonne, c'est donc du sperme de ton amant que j'ai senti en t'embrassant tout à l'heure. Salope va !

— Laisse-moi continuer. Mais c’est qu’il ne débandait pas le cochon ! Il m’a à nouveau allongée sur le lit, et m’a relevé les jambes, avant de se mettre à me lécher la chatte, et la raie des fesses. Il faisait entrer et sortir sa langue une fois dans mon sexe, une fois dans mon petit trou, que je sentais se dilater à chaque passage. Il faisait ça très bien, sans insistance, mais sans non plus me laisser le choix. Au bout d’un moment, il a délaissé ma chatte, pour rentrer et sortir sa langue uniquement de mon petit trou. Et ça ne me chatouillait pas… Au contraire ! Je gémissais de plaisir, comme une chatte en chaleur.

— Ne me dis pas qu'il voulait te sodomiser.

— Mais arrête de m'interrompre tout le temps ! Après un petit moment de ce traitement, il est venu s’allonger à côté de moi sur le lit, et m’a demandé si je voulais qu’il me prenne. J’en mourais d’envie, tu me connais… J’ai attrapé une capote dans mon sac, que je lui ai tendue, sans lui répondre, puis je me suis rallongée, les cuisses écartées !

— Il a mis la capote au moins ? Je ne tiens pas à me retrouver père d'un bâtard !

— Mais oui il a pris ses précautions. Il a enfilé la capote vite fait bien fait, et il est venu s’allonger sur moi. Je sentis son gland contre ma chatte, alors j’ai donné un coup de bassin, pour l’inciter à s’enfoncer, ce qu’il a fait sans attendre plus longtemps. D’un seul coup, il m’a planté sa queue au fond de la chatte, j'ai senti ses couilles contre mes fesses. J’ai poussé un cri de plaisir. Il est vraiment large, bien plus que toi ! Je l'ai senti me dilater, et pourtant, j’étais totalement excitée et bien mouillée, crois-moi.

— Dis tout de suite que j'ai une petite bite...

— Celle de Paul est plus large, ne t'en déplaise... Ensuite, il a relevé mes jambes sur ses épaules et a commencé à me baiser comme ça, en esclave, à grands coups de queue. Je le sentais qui sortait complètement avant de s’enfoncer à nouveau jusqu’aux couilles. Tout l’immeuble a dû m’entendre. Il m’a baisée comme ça un moment, puis j’ai eu envie de venir sur lui. Je te passe tous les détails, hein, mais il m’a baisée au moins une demi-heure comme ça, un coup dessus, un coup dessous, un coup derrière. On était trempés de sueur, et de mouille !

— Dommage que tu n'aies pas tourné une vidéo...

— Quand il me baisait en levrette, j’enfonçais mon visage dans le matelas, et j’écartais mes fesses à deux mains, pour lui offrir une belle vue de mon petit trou qu’il avait si bien dilaté et lubrifié.

J’ai joui, je ne sais pas combien de fois ! Et puis j’ai senti qu’il allait jouir aussi, c’est là que je lui ai demandé de gicler dans mon string, pour que tu puisses le sentir toi aussi. Il s’est retiré, a enlevé la capote, il a posé mon string sur ma chatte, et a balancé une grosse giclée dessus avant de s’essuyer le gland dedans.

— Un beau salaud ton Paul...

— Puis on s’est allongés sur le lit, côte à côte, tranquilles, en se caressant et en s’embrassant. Il m’a demandé si j’étais satisfaite, et si tu aimerais ce que j’aurais à te raconter. J’ai ri ! Au bout d’un moment, j’ai vu qu’il recommençait à bander. Moi, j’étais peut-être satisfaite, mais il en voulait encore, lui…

— Quoi ? Il en voulait encore ? Quel étalon ce mec !

— J’ai regardé l’heure, j’ai vu que j’avais encore le temps avant le dernier train, alors j’ai recommencé à le sucer. Il s’est très vite mis au garde-à-vous. Cette fois-ci, il ne voulait pas jouir dans ma bouche. Je me doutais bien qu’il avait autre chose en tête. Il a repris sa position de cunnilingus de tout à l’heure, mes jambes en l’air. Cette fois-ci, c’est moi qui les ai tenues largement écartées et relevées. Il a compris le message. Sa langue a commencé ses va-et-vient de ma chatte à mon petit trou, puis dans mon petit trou. Il aime ça, et il sait s’y prendre je vais te dire. Au bout d’un moment, je n’avais qu’une envie qu’il remplace sa langue par autre chose.

— Ah non ! Interdit ! Tu m'as toujours dit que tu me réservais ton pucelage anal !

— Oui ! J’ai repensé à toi à ce moment-là, et je lui ai demandé de me prendre en photo comme ça, dans une position carrément obscène, la chatte et le cul offerts, dilatés et dégoulinants de sécrétions. Il a pris une capote, se l’est enfilée, et m’a dit : «Avant que tu rentres retrouver ton cocu de mec, je vais t’enculer.»

— Vas-y, défonce-moi le cul.

— Ah non ! Tu me l'avais promis ! Sacré garce !

— Oh écoute ! Tu ne vas pas en faire un drame ! Et puis c'est pour la bonne cause, ton fantasme est encore plus épicé comme ça !

— Tout de même ma chérie, tu m'avais promis ton anus, que je serais le premier à te sodomiser...

— Oui ! Mais avec tout nos fantasmes... Oh et puis qu'est-ce que ça peut bien faire après tout, être le premier ou le dernier, le tout c'est que tu m'encules, non ?

— Oui, tu as peut-être raison, dis-je un peu dépité.

— Bref, en tout cas, il ne s’est pas fait prier, regarde :

Elle relève ses jambes, reprenant la position qu’elle vient de me décrire, pour m’offrir sa porte secrète que je découvre en effet encore bien dilatée par les coups de queue qu’il lui a mis. Je m’empresse à mon tour de lécher cet orifice qui m’a été jusque là interdit, et que ce mec que je ne connais pas a eu le plaisir d’investir dès le premier rendez-vous. Ma femme reprend :

— C’était trop bon. Il me branlait en même temps la chatte et le clito, tout en faisant coulisser sa queue entre mes fesses. Il m’a bien défoncé le cul, comme promis. J’ai pas mis longtemps à jouir encore, crois-moi. Puis il m’a fait mettre à quatre pattes, et m’a à nouveau enculée. Je me sentais vraiment salope, je l’encourageais à me baiser plus fort, et il ne se faisait pas prier. Il faisait des photos avec mon téléphone, et puis, je l’ai senti qui accélérait, il s’enfonçait dans mon cul comme s’il voulait me transpercer, puis s’est retiré, il a arraché la capote et m’a giclé sur les fesses et le dos.

Il m'a longuement traitée de salope en me fouettant les fesses avec sa queue amollie, c'était divin. Ensuite, il a fait une dernière photo. J’ai regardé l’heure… Il était temps que je m’en aille. Je me suis rhabillée comme ça, sans même m'essuyer. Si tu passes ta main dans mon dos, sous mon chandail, tu vas sentir son foutre...

— En effet, tu es trempée !

— Il m’a ramenée à la gare, en me demandant si on remettrait ça. Je lui ai dit que pour moi, ce serait avec grand plaisir, si tu étais d’accord. Il m’a même dit que si on voulait, il pourrait venir à la maison pour me baiser pendant que tu regardes, ça te dirait ?

Je vous laisse deviner ma réponse…

N’y tenant plus, je l’ai pénètrée. À mon tour, j'encule ma femme, moi pour la première fois, et me répand dans son anus après quelques va-et-vient. Puis nous montons nous coucher. Pendant que nous grimpons les marches, mon érection reprend de plus belle, la nuit va être longue...

Bien sûr, mon épouse revoit Paul régulièrement... Ils ont même fait l’amour dans le bar où il l’avait emmenée la première fois, lui assis sur la banquette et elle assise sur lui, avec la bénédiction des serveurs et dans l'ignorance de la clientèle, apparemment. Et surtout, Paul vient régulièrement à la maison, baiser ma femme devant mes yeux !

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